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G, H et L(ieu)    EQUUS NOX.

  

Patrick  CHOUISSA

 

 

 

 

ˆ lĠheure prŽalable

dans le p‰quis les chicanes 

dĠune toile ordinaire

ils rejoignent de minutieuses

pistes dĠenvol

 

chapitre II la chapelle dŽrive  

sur un axe rapportŽ

comme la godille dĠune barque nuageuse         

 

ils paraphrasent

lĠendroit et lĠenvers

dĠun verbiage enfantin 

dispersant lĠincontestable aveu

o faseyent les attendus dĠun thŽorme assez mystique 

 

lĠesprit me tourne de tous c™tŽs

 

H

Žgrne les dimensions

mtres centimtres tous les orients

 

quitter lĠŽglise y revenir arpenter dŽcidŽment

 

le dŽchiffrement sĠaccommode

du clapotis des photos qui taillent

ˆ grands bras

pour tisser les faits les courbes

de gravitŽ

que cette mŽmoire rende raison et juste rŽputation 

ˆ lĠabandon dĠune conscience Ç si douce È

 

chapitres I et III  retour ˆ la conviction

dĠun simple univers

bandeau noir les genoux sur le sol

figure de fin  figure G

aveugle ouverte aux flux remontant

des Žmotions impures et toutes les variations

du monde

 

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applaudissements clapotements du sourire

des mains

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lĠinstant bascule hors lĠenclos dĠune attention captive

 

retrouvant la lŽgretŽ une odeur futile et les gambades

de A en B les gentillesses augmentent les politesses coulent les conjonctions des baisers les bonjours a va

une monotone admiration

 

maintenant la chapelle est vide

comme au cÏur et lĠŽtalage

dĠune sincŽritŽ passagre

les noms les actes les complŽments bŽgaient

courses folles  Žtouffements dĠun rire 

sur le porche roman

 

quĠont-ils laissŽ

que laissons nous en quittant lĠordre muet

 

la voix balance quelque doute

le chant du savoir obscurcit la rŽvŽlation familire lĠempche dĠadvenir sous le grand air du bonheur

 

restent le front ttu des choses

la face brute taiseuse

les objets suffisants  les objets

six-douze-septembre

au Moustier de Payzac.

 

 

 

 

                                                                           

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